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jeudi 31 mars 2016

L'herbier de poésie proposition 40

Déjà quarante propositions, et toujours plus de bonheur à vous lire. 


Cette fois c'est MarHak, qui nous prête une image. MarHak, un peintre que j'aime énormément parce que ses couleurs viennent directement du cœur.

Ce tableau, quand je l'ai vu, m'a fait penser à un autre peintre, mais vous savez mon goût pour les secrets, alors...

Laissez s'exprimer votre imaginaire sur les couleurs de ce superbe tableau.


et toujours le bla bla concernant les adresses et touti touti...









Vous pouvez aussi visiter le coin des retardataires

11 commentaires:

  1. Merci à vous deux, et laissons courir nos plumes, bonne nuit m'dame !

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  2. Carrousel...

    Chevaux de bois
    Dans mes rêves
    Reviennent à l'assaut
    Quand j'ai froid de l'enfance,
    Au son de l'orgue de Barbarie...
    Un ticket à dix sous
    Pour un tour de manège
    Tout en rond, mille et mille fois
    Répété...voilà la besogne
    Du palefroi de carrousel
    Comme l'a dit un jour Verlaine...
    Sur ce champ de foire,
    P'tite bataille pour le plus beau,
    Chevaux à piston
    Montent et descendent
    De la joyeuse marmaille,
    Nés avec un sourire
    Sans se plaindre jamais de rien...
    Chevaux de bois
    Dans mes rêves
    Reviennent à l'assaut
    Quand j'ai froid dans mon automne
    Et que le monde a trop de barbarie...

    jill bill

    http://jill-bill.eklablog.com




























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  3. Thanks for your attention Dear Friend.....

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  4. Très belle composition certainement inspirante...

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  5. Symphonie d'amour.

    Quand le rouge s'éclate en chantant,  il écrit "in love" dans la mélodie de sa nuit.
    Il laisse voler en éclats les œufs de Pâques sur le bleu de la prairie.
    Ainsi naîtra le vert tendresse où iront migrer les canards sauvages.
    Aucune fausse note dans la symphonie du verbe aimer.

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  6. Malgré les derniers flocons de l’hiver
    La flamme brouillonne du printemps
    Accroche sa chaleur
    Dans le tourbillon
    De la voie lactée
    Derrière la vitre du jour
    La saison mélange ses couleurs
    Le soleil darde son ocre
    Sur les primevères
    Fleurissant à leur gré
    Portes et fenêtres s’ouvrent
    Sur la renaissance

    ABC

    http://jardin-des-mots.eklablog.com/

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  7. Une illustration qui me paraît parfaite pour un conte pour enfants, petits et grands
    !
    **********************

    Petit Flocon était perdu ! de sa vie de Flocon jamais il n'avait vu de ... chose aussi bizarre. Chose n'était pas un mot de son vocabulaire. Il venait de l'inventer ce mot. Il fallait bien qu'il se rassure. Ce qui n'a pas de nom fait peur, c'est bien connu !

    Chose était tout marron, une couleur qui n'était pas de l'univers de Petit Flocon. On aurait dit qu'il avait un ventre tout rond, ce qui était rassurant de prime abord. Mais il avait aussi une grande gueule ouverte, et une seule dent. Il aurait pu avaler tout rond Petit Flocon ... Peur ! ...

    Il vint à l'idée de Petit Flocon que Chose était blessé. On n'a pas peur d'un pauvre Chose blessé se dit-il. Il fit appel à toute la chaleur qu'il avait en lui, et même à la chaleur de ses frères, grands et petits. Ils lui firent un nid douillet et cotonneux. La chaleur se concentra sur le dos de Chose, et se confondant avec la couleur marron de son dos, lui fit une couverture dorée.

    Azur bleu mauve et

    Pâquerettes et pissenlits

    Une étoile luit


    Rire danse et tourbillons

    Energie

    La Vieille Marmotte
    http://leblogdelavieillemarmotte.over-blog.com

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  8. Ma proposition

    Dans l'oeuf est la vie
    Au centre de tout
    D'un côté du mur fragile
    Où vacille un espoir
    Guettent les crocs du tyran
    Prêt à prolonger l'attaque
    A son chevet une femme patiente
    Madone, piétât, mère universelle
    Arcboutée sur l'avenir de cet être
    Qu'elle voudrait triomphant


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  9. Bonsoir Adamante, un peu tard ce lundi voici ma participation
    Le pinceau en liberté
    sublime les couleurs
    et met le feu à ses ailes.

    Le petit cheval
    laisse ses sabots de plomb
    à ses basses besognes.

    Le pinceau l'arrache à la pesanteur parmi les fleurs de la prairie. Il n'était pas fait pour ça. Ce n'était pas du courage, juste de la docilité. Plus jamais, il ne guidera la foule triste des refoulés.
    Jeanne Fadosi
    http://fadosicontinue.blogspot.fr/search/label/l%27herbier%20de%20po%C3%A9sie

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  10. Tu as beau être gros
    tout habillé de rouge
    à qui veux-tu faire croire
    que tu livres des cadeaux aux enfants
    en cette belle nuit de Noël
    certainement pas
    à la petite vieille qui court devant toi
    croyant que tu veux lui voler son sac
    mais moi, je sais ptéranodon
    que ta gueule grande ouverte
    est prête à se refermer sur elle
    pour la croquer

    http://entrebrumeetsoleil.apln-blog.fr/wp-admin/pot-new.php

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Merci de vos commentaires, ici et sur nos blogs respectifs. Adamante